Nous luttons à tous les niveaux :
• pour une prise en compte sérieuse et adaptée de la souffrance au travail et pour une refonte de la structuration administrative défaillante ;
• pour en finir avec l’organisation pathogène du travail, pour les BIATSS en particulier, basée sur une hiérarchisation toujours plus importante et qui oppose les agents entre elles/eux avec des évaluations qui renforcent toujours plus la domination des N+1.
• pour une politique des emplois prenant en compte, dans la transparence, les aspirations des personnels et l’évolution des besoins dans les services et les composantes ;
• pour une université qui nous défende face aux injonctions ministérielles plutôt que de s’en faire le relais ;
• pour le droit à la déconnexion
• pour une reconnaissance de la pénibilité au travail plutôt que des responsabilités managériales et donc contre une cartographie inégalitaire du régime indemnitaire RIFSEEP ;
Nous agirons localement :
• pour mettre fin au gel des emplois et aux sous-effectifs ;
• pour assurer à tou·te·s de bonnes conditions de vie au travail dans le respect des règles d’hygiène et de sécurité en exigeant l’étude réelle des impacts physiques et psychologiques (RPS) de l’organisation du travail dans le document unique;
• pour recréer un véritable suivi de la santé par un service de médecine du travail complet et opérationnel ;
• pour mettre fin au CIA (Complément indemnitaire annuel) qui accroit toujours plus le pouvoir hiérarchique et pour le reverser dans l’enveloppe initiale comme le prévoit les textes.