Nous revendiquons nationalement :
• un accès gratuit pour les étudiant·e·s aux formations ;
• un accès sans condition des bachelier·e·s à la formation universitaire de leur choix ;
• des conditions d’enseignement permettant la transmission des savoirs et facilitant les échanges étudiant·e·s/enseignant·e·s ;
• des conditions d’étude permettant la réussite de tou·te·s les étudiant·e·s ;
• le maintien des formations conduisant aux concours de l’enseignement ;
En conséquence, nous agirons localement :
• contre l’application aux étudiant·e·s extra-communautaires des droits d’inscription différenciés grâce à une politique d’exonération systématique ;
• pour une politique des formations dans un cadre où la contrainte financière n’est pas l’unique critère de pilotage ;
• pour une allocation des moyens humains et financiers garantissant à chaque formation des conditions équivalentes de fonctionnement, y compris en ce qui concerne la formation doctorale ;
• pour l’amélioration des taux d’encadrement qui, à l’Université de Lille, sont parmi les pires de France (seuil maximal d’étudiant·e·s, accès à des salles suffisamment adaptées et équipées) ;
• pour une refonte du « système de BCC » (nouvelle offre de formation 2020-2024, « Blocs de Connaissances et de Compétences ») là où il constitue un frein à la réussite étudiante et un instrument de sélection déguisé ;
• contre les nouvelles « écoles graduées » qui accentuent l’écart entre licence et master et introduisent des inégalités de traitement et des moyens différenciés entre masters.